Ah... Les conversations caféinées de début d'aprem... (int aux -18ans)

Quand deux blondes parlent de "Sesque" autour d'un café, ça donne des questions existentielles de haut niveau:

* "Tu trouves pas ça dingue les nanas qui ne pratiquent QUE le "ramassage de savon en milieu pénitencier", tout ça pour soi-disant arriver vierge au mariage?"

* "Et alors ton nouveau sex-toy, le rabbit-machin là, c'est comment??"

* "C'est super dur de trouver un(e) invité(e) pour un plan à 3 parce que mon homme et moua, on a pas les mêmes gouts. Ca craint hein..."

Mais il en est UNE, ZI interrogation cosmique, que nous nous trainons depuis des années avec Germaine, et qui est:

"Comment font les lesbiennes pour ne pas tomber dans la routine, surtout quand elles n'utilisent aucun sex-toy?"
(deux fois "sex-toy", je vais encore attirer du monde)(merci le referençage Google)

Parce que bon, comme disait le poete:

"C'est comme la mer sans les vagues
C'est comme les vagues sans l'écume
C'est comme l'écume sans le sel
C'est comme le sel sans le poivre"

Alors c'est pas faute d'en avoir longuement débattu avec Odette hein... Elle a bien tenté de nous expliquer les subtilités de la chose, le langage des signes et la position dite du "tricératops à trois cornes"... Nan y a pas à tortiller de l'arriére-train: on percute pas.

Comme le dit trés bien Germaine: "c'est comme aller à des repas où il n'y a jamais de dessert".

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Pourtant c'est festif les desserts non? (enfin moua j'dis ça....)

Martine, qui se léve toujours pour Danette