Une blonde, c'est vraiment très très con...

Il y a quelques années, je vous avais raconté mon histoire de trombinoscope au boulot ('tain presque 4 ans... c'est dingue comme le temps passe vite). Bon, ben c'était le level 1. Aujourd'hui, j'ai le bonheur de vous annoncer que chuis passée level 2....

CE MATIN, je me prépare avant de partir bosser. Comme chuis censée courir entre midi et deux, je ne fais aucun effort: fringues laides (jean informe qui a fait la guerre, baskets cradouilles et gros gros sweat XXXL Decathlon)(le genre de truc qui te met pas particulièrement en valeur)(sauf si tu fais de la pub pour Herta), pas de maquillage, le cheveux terne qui a besoin d'être lavé, grosses lunettes... BREF : la totale.

OR je suis au courant depuis 10 jours que CE MATIN, une journaliste vient nous voir pour faire un article. Notez bien que je pars au boulot en sachant qu'elle sera là (non c'est pas comme si j'avais oublié sa venue hein).

POURTANT, pas une seule seconde j'ai potentiellement envisagé l'hypothétique éventualité où elle prendrait des photos pour illustrer son article. Non... Pas un quart de millionième de seconde...

EVIDEMMENT vous aurez compris qu'en plus du dictaphone, elle avait eu l'appareil photo numérique pour Noël...

Moralité: Si vous voulez voir Martine habillée comme un sac, sans maquillage, le cheveux terne poil-de-cul (celui qui frise éléctriquement), avec ses grosses lunettes et son air terrorisé (oui parce que du coup, chuis passée en mode "Terreur/Honte"), y a qu'à regarder dans le journal.

La vie est une fête.